40 – 45

Il ne s’agit bien sûr pas de la dernière guerre mondiale dont nous allons parler ici, bien que la Place Verte, lors des préparatifs et surtout après la festivité, peut parfois ressembler à un vrai champ de bataille… Non, ce dont nous aimerions vous entretenir dans cet article, ce sont des deux derniers anniversaires de no’ bien-aimée fiêt’!

C’est en effet en l’an 1975, à l’initiative de quatre célèbres villageois, que voit le jour la première « Foire aux artistes et aux artisans de Hollain ». Aidés par d’autres habitants, le public se presse alors déjà en face de l’Eglise. Le succès poussera ainsi d’autres bénévoles, exposants et commerçants dans l’aventure, attirant un public de plus en plus nombreux. La festivité déménage sur la Place Verte en 1979, et poursuit ensuite son évolution d’année en année, avec toujours plus de bénévoles et d’exposants, et d’attractions supplémentaires… Aujourd’hui, on fête la 50ème édition, et l’Artifoire et son comité continuent de faire vivre leur village et cet héritage, en gardant toujours ces mêmes valeurs qui en ont fait le succès dans le passé.

Tout cela a donc commencé il y a près de 50 ans, et de nombreuses éditions-anniversaires furent fêtées depuis les débuts! Retour ici sur la 40ème édition de 2014, non sans raison, car celle-ci accueillait déjà avec bonheur (entre autres) le groupe portugais « Grupo Etnofolclórico Renascer de Areosa », également invité d’honneur de notre 50ème! Cinq ans plus tard, en 2019 donc, avait lieu la 45ème (apparemment on sait compter à Hollain!), qui accueillait, outre un groupe de joviaux Irlandais, Pilgrims, le « Cover » de Queen qui promet de mettre le feu à nos 49 bougies (on vous a dit qu’on savait compter dans no villach’!) en cette Artifoire 2024!

Bon, tout ça ne nous rajeunit pas par contre… Mais la Pierre Brunehaut est éternelle, Hollain et sa festivité le seraient-ils aussi? Même la guerre 40-45 et les précédentes n’en seraient pas venues à bout en tout cas, n’est-ce pas Monsieur Coronavirus..?? 😀

Plus sur l’historique de l’Artifoire: ici